Dresser un état des lieux de la radicalisation, s’agissant aussi bien du personnel que des usagers, dans les principaux services publics, et formuler des préconisations pour en “améliorer” la prévention et la détection. Tels étaient les objectifs que s’était fixés la mission d’information de l’Assemblée nationale sur “les services publics face à la radicalisation”, dont les conclusions ont été présentées en commission des lois mercredi 26 juin.
Titre h2 : passer la largeur de 75% à 100% de la zone de texte
rapporteurs de cette mission d’information : même si des zones d’ombre persistent, le phénomène reste marginal au sein du secteur public. Dans le cadre de leur mission, les parlementaires ont retenu une “acception large” des services publics, faisant porter leurs travaux sur les “grands domaines de l’action publique, même lorsqu’elle fait intervenir des acteurs de droit privé”.
Citation : ajuster l'alignement à gauche + ajuster la largeurs à 100% de la zone de texte
Les membres des forces de sécurité et de la justice et “en particulier” ceux des forces armées, de la police et de la gendarmerie, “auxquels on peut ajouter le personnel de l’éducation nationale”, semblent ainsi, “pour ce qui les concerne”, “préservés en grande partie de toute radicalisation significative”, soulignent les parlementaires. Selon eux, cette “préservation” est le fruit de l’existence, dans ces services, “d’un certain nombre d’outils efficaces en matière de détection, de prévention et de gestion des ressources humaines”.
📰Le dernier magazine Acteurs Publics est arrivé : dossier spécial sur l'évaluation des politiques publiques. Et un petit dossier de ma plume sur les maisons "France Services" ⤵️ pic.twitter.com/YbjRcEfYbI
— Emile Marzolf 📱Reporter en StopCovidie 📱 (@emile_marzolf) November 26, 2020
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— Emile Marzolf 📱Reporter en StopCovidie 📱 (@emile_marzolf) November 26, 2020
• Puce #1
• Puce #2
• Puce #3
Pour autant, la vigilance “n’en doit pas moins rester constante car si les cas de radicalisation sont rares dans ces services, ils n’en sont pas pour autant inexistants”, affirment les députés dans leur rapport.